Hold Out : et maintenant… que faire ?
Hold Out, dernier volet de la trilogie « covidienne » du réalisateur indépendant Pierre Barnerias, reprend les choses là où la seconde partie Hold On les avait laissées. Deux ans après, où en sommes-nous ? Le film frappe toujours fort, même si le contenu apparaît moins dense, le montage moins percutant, et la conclusion peut-être plus dubitative que dans les opus précédents.
À l’heure des comptes, on sait maintenant que l’épidémie de covid n’était pas l’apocalypse que les médias nous ont dépeinte jour après jour, des mois durant. L’amplitude du covid fut par exemple dix fois inférieure à celle de la grippe de 2009 en nombre de malades, d’hospitalisations, et même en mortalité.
On sait aujourd’hui que les différents vaccins mis sur le marché présentent tous une efficacité médiocre, très limitée dans le temps, et peuvent entraîner un grand nombre d’effets secondaires sévères, voire mortels : péricardite, myocardite, infarctus, cancer, maladie de Creutzfeldt-Jakob, stérilité, etc. Hold Out relève qu’au 11 mars 2022, le site EudraVigilance recensait 1’583’580 effets indésirables et 23’110 décès. Or les remontées des effets secondaires des vaccins ne représentent que 3 % de la réalité, selon l’Agence nationale de sécurité du médicament…
« Expérience la plus radicale de l’histoire »
Aurait-on pu le savoir plus tôt ? Oui, répond la biostatisticienne Christine Cotton : les résultats des premiers essais cliniques publiés par Pfizer en décembre 2020 étaient accablants, l’évaluation des risques inexistante, le rapport bénéfice-risque erroné. « Quels sont les risques que les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes ? On ne le sait pas. Les laboratoires n’ont pas non plus étudié les risques sur les femmes enceintes, les répercussions sur le plan génétique ou celui des cancers. Le principe de précaution n’est absolument pas respecté quand on utilise un produit expérimental pour une vaccination de masse », souligne la journaliste Corinne Lalo, qui dénonce « un système de corruption au niveau planétaire, le plus grand scandale de santé publique de tous les temps. »
Le pionnier des vaccins à ARN messager, le biologiste américain Robert Malone lui-même, rappelle face à l’objectif que les fameuses protéines Spike « peuvent causer des dommages irréversibles aux organes vitaux » et va jusqu’à poser la question aux parents qui optent pour la vaccination : « voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité ? »
Des vaccins électromagnétiques
Mais ce que Hold Out révèle de plus terrifiant est sans doute la présence, en tant qu’excipient, d’oxyde de graphène dans tous les vaccins analysés. Sous le microscope électronique du pharmacien clinicien Jacques Bauer, le contenu des vaccins s’avère inexplicablement « vivant » : au fur et à mesure du temps qui passe se forment des microstructures, on voit des anneaux, des alignements qui se complexifient progressivement. Pour ce spécialiste suisse des essais cliniques, « ces formations pourraient être soumises à une influence électromagnétique… mais une chose est sûre : cette technologie n’a pas pu être développée en 6 à 9 mois ».
Or Hold Out révèle aussi que le graphème, qui présente une conductivité électromagnétique extraordinaire, est depuis 2013 au cœur d’un programme très officiel de l’Union européenne, visant à développer des « particules supramagnétiques », soit des nanocristaux soixante fois plus petits que les globules rouges. La même UE qui, en 2017, décidait de créer un passeport vaccinal… pour 2022. Pour Amar Goudjil, de l’European Forum For Vaccine Vigilance, cela ne fait aucun doute : « Le but des injections est bien de nanotracer les individus à leur insu. » « Le corps humain transformé en émetteur-récepteur ? Qui va activer ces réseaux, de quelle manière, et dans quel objectif ? » s’interroge le narrateur.
Hacker les êtres humains
En 2017, l’historien israélien Yuval Noah Harari, chantre du transhumanisme courtisé par Bill Gates, Marc Zuckerberg ou Klaus Schwab, affirmait déjà sur les plateaux de télévision qu’il serait bientôt possible de « hacker les êtres humains, qui ne sont que des algorithmes biochimiques manipulables (…) Pour convaincre les gens de porter en permanence des capteurs biométriques, il suffira de leur promettre que ceux-ci permettront de fournir des soins plus efficaces ou d’agir plus efficacement contre les épidémies : l’argument de la santé convaincra la majorité de la population à renoncer en échange à toute vie privée. »
Cinq ans plus tard, 3 milliards de personnes ont déjà été injectées avec des doses expérimentales dont personne ne connaît la composition exacte.
« Que dire encore… ? »
« Que dire des dizaines de milliers de soignants qui ont préféré perdre leur emploi plutôt que de se soumettre à des mesures dogmatiques, inutiles et dangereuses ? Que dire de toutes ces études sur des médicaments à très bas prix qui débarquent après la bataille en montrant leur efficacité contre la covid ? Que dire encore de toutes ces personnalités aux cursus enviables qui ont été évincées, raillées, discréditées par une presse arrogante et complice d’un système inqualifiable tant son crime est immense ?» s’interroge encore le narrateur. Sans pouvoir y apporter un début de réponse.
Hold Out se clôt sur un hommage au prix Nobel de médecine Luc Montagnier, dont le décès, le 8 février 2021, ne sera annoncé par l’AFP que deux jours plus tard, comme à contrecœur. En août 2020, devant la caméra de Pierre Barnerias, le professeur Montagnier, qui avait été un des premiers à révéler qu’il avait trouvé des séquences du VIH dans le génome du SARS-CoV-2 et l’avait payé de sa réputation, prédisait déjà : « c’est un virus fabriqué en partie par l’homme. Et la partie fabriquée par l’homme n’est pas très bien tolérée par le reste du virus. Donc la partie la plus pathogène disparaît au fur et à mesure que le virus se propage. Il y a donc une raison écologique, qui fait que cette épidémie va disparaître. »
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